Pour Afanador, Marcos Morau s’est inspiré du flamenco tel que l’observe le photographe Ruvén Afanador : à travers un prisme fait de rêves, de désirs et de souvenirs. Le chorégraphe espagnol réalise ici, en collaboration avec trente danseur·ses, une éblouissante fusion entre l’univers du photographe et la danse contemporaine, où l’on retrouve le magnétisme des portraits du premier et la fascination de Morau pour le mystère. Afanador, dit Morau, l’a amené à réfléchir à la parenté fondamentale entre photographie et chorégraphie : la volonté de capturer la vie, par essence insaisissable.
Coproduction: Ministère espagnol de la Culture, INAEM