Cette performance se déroule dans différents espaces de Bozar, où les étudiants présentent une série d’images vivantes inspirées des tableaux Los Caprichos et Los Disparates de Francisco Goya, fusionnées avec des gestes tirés des médias sociaux contemporains. L’univers inquiétant et satirique de Goya se heurte à l’esthétique performative de la culture numérique, soulignant comment les deux reflètent des systèmes de pression, d’illusion et de contrôle. Ces archives incarnées sont jouées en boucle pendant une à deux heures, les corps des danseurs devenant un lieu de tension entre positivité forcée et réalisme sombre.